mercredi 30 juillet 2014

Cuzco - Ancienne capitale Inca

La route du Soleil

Nous quittons donc Puno avec un bus spécial touristes. En effet, la route entre Puno et Cuzco est vraiment très belle, et il y a de nombreuses choses à voir.

Le problème avec un bus normal, c'est qu'il ne s'arrête pas. Nous nous délestons donc de 60$ par personnes et embarquons dans un beau bus, avec boissons à volonté, et le luxe, des toilettes !

Le premier stop que nous effectuons est à Pukara, pour visiter un petit musée fort intéressant.


Le décapiteur
Nous reprenons la route, puis arrivons au point culminant de notre voyage (4.900m) à la Raya. Il s'agit d'un mirador, d'où il est possible de prendre des photos. Environ 20 stands de souvenirs y sont installés, des dames en costumes traditionels veulent se faire photographier avec un agneau ou un lama. Nous fuyons tout ceci et rentrons vite dans le bus.

Nous aurons le droit à un buffet pour le déjeuner. Nous marchons un peu en ville, histoire de digérer un peu, pùis reprenons la route.

Une gare de campagne

Nous nous arrêtons à Raqchi, un site Inca très intéressant. On peut y trouver un petit lac artificiel, dont le fond est recouvert de grosses pierres. Il y a aussi de nombreuses fontaines et un temple dédié au dieu créateur Wiracocha.

Le temple de Raqchi

Les ruines du temple

Nous remontons dans le bus et partons direction d'Andahuaylillas, où se trouve l'église Saint-Pierre-Apôtre.

Vue de l'extérieur, l'église parait assez sobre, mais lorsque l'on y rentre, c'est de l'art baroque qui nous attend : or, peintures murales, bois sculpté, ...

L'église

Après cette visite, nous poursuivons notre route jusque Cuzco.


Cuzco

Cuzco compte environ 300.000 habitants et se situe à 3.400 m d'altitude. Cuzco a été la capitale de l'empire Inca Tawantinsuyu. Manco Capac aurait fondée Cuzco au XIe ou XIIe siècle.
En 1534, après avoir détruit une bonne partie de la ville, les conquistadors érigèrent une cathédrale.
De nos jours, on peut toujours voir des murs incas originels.


La rue de notre hôtel

Nous décidons de prendre un hôtel sur les hauteurs de la ville, au-dessus de la place San Blas. C'est une montée bien raide qui nous attend chaque fois que l'on décidera de remonter "chez nous". L'auberge est très simple et nous sommes accueillis par Juan et Juanita, le couple de moutons ! La vue sur Cuzco est très impressionante !

Le lendemain, nous commencons les visites et on se rend compte du prix élevé des musées et églises !

Nous visitons donc la petite église de San Blas, le musée Arzobispal, la cathédrale, le Templo del Triunfo, ainsi que le tempolo de la Sagrada Familia.

Un batiment colonial construit sur des restes Incas

La place san Blas, non loin de notre hôtel

Les rues de Cuzco
Après ces visites, Pierre se sent vraiment crevé et on retourne à l'auberge. Quant à moi, je n'entends quasiment plus de l'oreille gauche, et ce depuis ce matin au réveil ! En attendant, on ne sait toujours pas si on va faire un trek ou si on va au Machu Picchu directement.

Le lendemain pas d'amélioration de mon oreille, et on décide d'aller voir le médecin, qui me diagnostique une otite externe !

On continue nos visites, cette fois-ci ce sera le musée Inca et le très intéressant Musée pré-colombien !

Entre les visites, on demande les prix pour faire le trek du Salkantay ou le trek du Lares. Certaines agences proposent ces treks pour 600$ par personne ! Bien trop cher pour nous, même si le service est certainement top !

Pour le lendemain, on décide de prendre un tour à cheval pour visiter 4 sites incas proches de la ville. C'est donc à dos de cheval que nous irons visiter Qenqo, Puka Pukara, Tambo Machay et Sacsayhuaman.


Juliette sur les hauts de Cuzco

Tambo Machay

Vue depuis Tambo Machay

Puka Pukara

Le mur de défense de Sacsayhuaman

Comment les incas ont-ils bougé cette pierre?

Les fortifications

Des alpacas

Il faut quand même savoir que ce tour n'inclus pas de guide et qu'il faut prendre le bus pour aller voir Tambo Machay et Puku Pukara, les chevaux étant interdits. Prix : 60 soles par personne.

Dans cette même agence, nous prenons le trek du Salkantay avec arrivée au Machu Picchu : 5 jours et 4 nuits pour 235$ par personne. En plus, nous prenons une paire de bâtons de marche pour 10$, et 2 matelas gonflables pour 10$ chaque. Le sac de couchage est inclus dans le prix. Nous nous en sortons donc pòur 500$ à 2. Départ après-demain, le 28 juillet !

Le lendemain, nous nous rendons à Pisac en mini-bus. Nous profitons du marché avant de commencer notre ascencion pour atteindre les ruines, en haut de la montagnes. Nous passons par de nombreuses terasses. Quels paysages ! C'est magnifique !


Les terrasses de Pisac

Vue sur Pisac depuis le village Inca

Une partie du village Inca

Un camp militaire

Les portes Incas sont en trapèze !

La ville et les terrasses en contrebas

Nous revenons à Cuzco en collectivo. Je ne me sens pas très bien après avoir mangé un morceau de fromage ! Ce soir, nous préparons nos affaires pour le trek !

- Juliette - 

mardi 29 juillet 2014

Le lac titicaca - de la Bolivie au Pérou

La pluie nous a suivi depuis Coroico. A Copacabana, il tombe de la neige fondue. C'est exceptionnel, car il n'y a d'habitude aucunes précipitations en Juillet. Nous comptions partir sur l'Isla del Sol, une des îles au milieu du lac, mais il va falloir attendre que les conditions météo s'améliorent. Le lendemain, nous décidons donc de rester à Copacabana. Le temps s'est un peu amélioré, et nous en profitons pour nous promener au bord du lac. La plage est couverte de bouteilles vides.

Le lac depuis Copacabana

Le lac

Coucher de soleil sur le lac

Le lendemain, nous nous levons tôt pour prendre le bateau. Après deux heures de trajet, nous arrivons sur l'île. Le paysage est merveilleux. De nombreux animaux vivent dans le village, au bord de la plage : des ânes, des cochons, des moutons...

Nous decidons de traverser l'île à pied. Il y a beaucoup de ruines sur le trajet. L'île est en effet connue pour être à l'origine de la civilisation Inca. Pour traverser l'île du nord au sud, il faut passer par trois communautés. Chacune a installé une billeterie à l'entrée du territoire, et il faut payer pour traverser! C'est un peu exagéré, surtout qu'il n'y a aucun service offert pour le prix de l'entrée. En fin de Journée, nous reprenons le bateau jusque Copacabana, et ensuite, le bus jusque Puno, au Pérou, de l'autre côté du lac.


L'arrivée sur l'île

Depuis l'île

Vue du haut de l'île

La table pour les sacrifices

La traversée de l'île

Nous arrivons au Pérou assez rapidement : il y a peu de contrôles à la frontière et la route est en assez bon état.

Puno est une grande ville située au bord du lac Titicaca, côté péruvien. La ville est assez jolie, et les premiers bateaux (à vapeur) qui ont été utilisés sur le lac y sont stationnés. Il a d'ailleurs fallu 6 ans pour transporter le premier bateau en pièce détachées depuis le port d'Arica (au Chili), en train et ensuite à dos de mulets !

Au large de Puno, il y a les Uros, un chapelet d'îles artificielles construites en roseaux. Les gens qui y vivent doivent ajouter en permanence des roseaux pour ne pas que l'île disparaisse. Sur l'île, tout est construit en roseaux: les habitations, les sièges... seule une pierre est posée dans la cuisine afin de pouvoir faire du feu dessus pour cuire les aliments. Les hommes partent toute la journée sur le lac (pour chasser, pêcher, cueillir les roseaux, et construire des bateaux en roseaux). Quant aux femmes, elles s'occupent principalement de recevoir les touristes.

Malheureusement le tourisme de masse sur les îles a complétement transformé le mode de vie des personnes vivant ici. Nous avons trouvé que le site était vraiment trop touristique. Après avoir été déposés sur une île, une habitante nous a expliqué comment sont construites les îles, et nous a fait visiter les lieux. Nous sommes ensuite parti en bateau de roseaux sur l'île centrale, où il y a un petit marché et un restaurant.

Sur le chemin, nous avons aperçu deux barques remplies à ras bord de roseaux. Le conducteur des deux barques étant assis entre les deux tas de roseaux, il ne pouvait pas voir grand chose, tandis qu'il se dirigeait droit sur nous. Notre bateau de roseau n'étant pas manoeuvrable non plus, la conductrice de notre bateau n'a même pas essayé d'éviter la colision. Boum! Ce fut notre premier accident de la circulation depuis le début du tour du monde ! Heureusement, plus de peur que de mal. Le roseau encaisse bien les chocs, et nous n'avons pas coulé!



Arrivée aux Uros

La construction de l'île

Le bateau qui nous est rentré dedans

lundi 28 juillet 2014

De Uyuni à Coroico

Une fois arrivés à Uyuni, une mauvaise nouvelle nous attend: en raison d'une gréve généralisée, aucun véhicule ne peut entrer ou sortir de la ville. Il va donc falloir être patient. Une réunion est prévue pour le soir même, donc qui sait! Au lieu de prendre le bus, nous réservons donc une chambre dans un hôtel du centre ville et prenons notre mal en patience. Le soir même, on nous propose de nous emmener à Potosi (donc pas du tout où nous souhaitons aller) pour 25$, soit un prix dix fois supérieur au billet de bus. Nous refusons donc en nous disant que ça ira sans doute mieux demain.

Le lendemain, pas d'amélioration. Nous en profitons pour faire avancer le blog, et passons la journée sur internet. Le jour d'après, pas d'amélioration non plus. Des gens bloquent toutes les routes d'accès á la ville. Le réseau de train est bloqué lui aussi. Nous demandons à tout hasard s'il y a un avion pour la Paz, mais les avions eux non plus ne volent pas... Bref, la situation a l'air complétement désespérée... En France, on a l'habitude de râler à chaque grêve de train ou d'avion, mais c'est la première fois que nous vivons un bloquage complet. Seules les agences de voyages proposent un 4x4 pour sortir de la ville, en passant par des chemins de terre, pour des prix hallucinants. Mais l'essence commence à manquer en ville, et de moins en moins de voitures partent le soir.

De peur de rester bloquer très longtemps, nous nous décidons donc à partir à Potosi, le soir même. Tant pis ci ce n'est pas sur la route, nous prendrons un autre bus pour La Paz, nous n'en somme plus à quelques heures près ! Le départ est fixé à 19h00. Nous sommes 7 touristes, entassés dans le 4x4 : un brésilien, deux canadiens, une hollandaise, un belge, et nous deux. Le chemin de terre que nous utilisons pour quitter la ville n'est pas bloqué, par contre cela secoue! La nuit tombe vite, et notre chauffeur hésite plusieurs fois à des croisements, en pleine nuit, en plein milieu de la campagne, ce n'est pas rassurant. On voit par endroit des gens dehors en pleine nuit et des feux de bois. On se demande ce qu'il font là, au milieu de nulle part. Après 1h30 de route, nous nous arrétons. Devant nous, un bus est bloqué au milieu du chemin défoncé. Ce n'est vraiment pas une route pour les bus et les camions! Nous faisons demi tour et tentons un autre chemin. Cette fois ci, c'est un camion qui est embourbé. Le chauffeur nous annonce alors qu'il n'y a plus aucune alternative, il faut faire demi tour. Nous rentrons donc à Uyuni, tristes de ne pas avoir pu nous échapper. Tous les touristes qui nous accompagnaient nous suivent et réservent une nuit dans le même hôtel que nous. Nous décidons de nous retrouver le lendemain, pour une nouvelle tentative d'exfiltration!

Le lendemain matin, nous nous assurons que la situation n'a pas évolué. Toujours pas de bus, et maintenant la voie d'accès vers Potosi est également bloquée par le bus vu la veille. Cela limite les chances de sortir de la ville. Nous trouvons une agence de voyage qui a un 4x4 disponible, et nous leur demandons d'aller à Oruro, une ville qui est située plus loin, mais au bout d'une autre route. Cette fois-ci, on nous demande 35 euros par personne, ce qui est un prix exorbitant pour la Bolivie. Le temps d'arranger le départ avec l'agence, et nous voila partis! Cette fois ci, nous aurons plus de chance. Après avoir traversé les landes aux alentours de Uyuni, nous rejoignons la piste qui mène à Oruro. Six heures plus tard, nous arrivons enfin à destination. Depuis Oruro, nous prenons ensuite un bus pour La Paz, où nous passerons la nuit. Le lendemain matin, nous  prenons un mini bus pour Coroico.

Le départ de Uyuni

Coroico est une ville située dans la zone amazonienne, en bas de la cordillère des andes. Pour y arriver, il faut passer la Cumbre, un col à 4700 mètres d'altitude, avant de descendre pendant 75 kilomètres, jusqu'au pied du massif montagneux. L'ancienne route pour s'y rendre est d'ailleurs apellée "el camino de la muerte" en raison du nombre de morts sur cette route vertigineuse à flanc de montagne.

Aujourd'hui seuls les vélos y passent, une route plus moderne et plus sûre a été ouverte. C'est celle que nous emprunterons. Il fait beau sur l'altiplano, mais il pleut dans la jungle. Nous trouvons un hôtel sympa (mais un peu cher) au sommet du village, et nous prenons un peu de repos. La vue est magnifique, mais il y a beaucoup de nuages et nous ne pouvons pas tellement en profiter. Il y a aussi de superbes randonnées à faire dans la jungle aux alentours, mais nous ne pouvons pas partir à cause de la pluie. Le lendemain, le temps est encore plus mauvais, nous décidons donc de reprendre le bus et de ne pas nous attarder. Nous repartons donc pour La Paz, et nous prenons ensuite un bus pour Copacabana, une ville située au bord du lac Titicaca. Nous y arriverons dans la soirée.

La vue depuis l'hôtel

samedi 12 juillet 2014

Le parc Eduardo Avaroa et le Salar d'Uyuni

Le voyage en bus se passe mieux que prévu (la route est goudronnée), mais la nuit fut courte. Nous arrivons vers 4h du matin à Tupiza. Sans reservation d'hotel et à cette heure là de la matinée, il n'y a qu'à attendre dans la station ! Le problème est qu'il fait très froid et qu'il n'y a plus de place dans la salle d'attente. Le temps parait bien long.


En mode papillote ! Minde de rien, les couvertures de survie nous aurons bien servies au cours du voyage.

Pierre se concentre pour lutter contre le froid.

 Vers 7h, nous retrouvons Ludo, un des éléves qui est venu en train (et qui est arrivé à la même heure que nous). Nous trouvons alors l'hotel dans lequel logent Isa et Carole, qui sont arrivées la veille. Après le petit déjeuner, nous rencontrons Christina, notre cuisinière, et Kali, notre chauffeur. Nous envoyons une partie de nos sacs à Uyuni par le bus (c'est la façon dont les boliviens envoient des paquets dans le pays), et nous voila parti !

Nous empruntons un chemin de terre pour ce premier jour, et nous devons parcourir 280kms ! C'est beaucoup ! Le 4x4 passe par plusieurs vallées magnifiques.

Paysages superbes ...

... à perte de vue !

Un village fantôme, que les habitants ont quitté, après que de nombreux habitants soient tombés malades et soient morts. Pour eux, la Pachamama n'était pas d'accord qu'ils extraient des minéraux de la montagne proche.


Nous sommes au milieu d'un désert de pierres. Le chemin monte toujours plus haut, et nous pouvons profiter d'une vue sur tous les environs. Nous passons le volcan Uturuncu et la laguna celeste, un joli lac d'altitude, avant d'arriver vers 20h à notre hotel, à Quetena.

Malheureusement il n'a pas été possible de réserver un hotel, et nous devons nous contenter d'un des derniers dortoires restant. Le dortoire est simple mais confortable, par contre les toilettes laissent à désirer (il y a des coulures de diahrée sur la lunette des toilettes et pas d'eau pour évacuer les excréments). Le lendemain, nous comprendrons pourquoi: le propriétaire de l'hotel est malade, et après son passage dans les toilettes, une odeur horrible se propage partout et il sera impossible d'entrer dans la ''salle de bain'' pendant plusieurs heures !

Le lendemain, nous arrivons dans le parc Eduardo Avaroa, qui est l'une des plus belles réserves de Bolivie.

Nous visitons les geysers de Sol de mañana, le desert de Dali (qui ressemble aux peintures du peintre) et la laguna verde (verte à cause de ses eaux riches en arsenic). Les paysages sont superbes.

La boue ...

... bouillante !






La lagune verte
La laguna verde

Une vallée sur la route
Un parc à Lamas

Une des nombreuses lagunes




Une autre lagune


Le désert de Dali

Après une pause dans les sources d'eau chaude du parc, nous continuons notre route le long du volcan Licancabur (que nous avions déja découvert du côté Chilien) avant d'arriver à la Laguna Colorada, où nous passerons la nuit. La laguna est le refuge de centaines de flamants. Cette fois ci l'hôtel est très sympa! Nous sommes à 4400m d'altitude et il fait très froid dehors (de la glace se forme dans notre chambre sur l'interieur des vitres).

La laguna Colorada au loin

La vie est dure, la nuit est froide...

Pour le 3ème jour, nous poursuivons notre route en direction du Salar. Sur la route, il y a de nombreuses lagunas, dans lesquels vivent des centaines de flamants. Nous passons également l'arbol de piedra.

Près de l'arbre de pierre




L'arbre de pierre

Le paradis des flamants

Un oiseau près de la laguna colorada

Les flamants dans la lagune

Des poussins au premier plan

L'envol

Une des nombreuses lagunes
Les restes d'une coulée de lave

Dans la gueule du tigre


Dans la soirée nous arrivons à Chuvica, au bord du Salar. Cette fois ci nous dormirons dans un hotel construit en sel! Il y a même du vin au menu!

Notre chambre dans l'hotel de sel
Après avoir vu le soleil se lever sur le salar, nous profitons du dernier jour pour visiter la isla Incahuasi et ses nombreux cactus, avant de faire quelques photos au milieu de l'étendue blanche de sel. Il y a malheureusement eu beaucoup de vent le mois précédent, et le salar est un peu plus brun que d'habitude. Nous faisons finalement route sur Uyuni, et terminons notre tour par une visite au cimetière des trains à vapeur utilisés en bolivie au siècle dernier. 

Une mauvaise nouvelle nous attend à Uyuni: suite à un conflit social (pour savoir où doit se construire le nouveau terminal de bus), tous les accès en transport en commun sont bloqués! nous ne pouvons donc pas partir d'ici! Eh oui, en bolivie, todo es posible, nada es seguro! En attendant, nous en profitons pour rattraper notre retard sur le blog!

l'ombre la plus longue au monde!

Juliette la balance

Dino fight

Photo de groupe avec notre 4x4



Chili - Bolivie express

Portrait au lever du soleil

Lever de soleil sur le salar

Lever de soleil



Lever de Soleil sur le Salar

L'île Incahuasi

Dans la vie, il y a des cactus!

L'île et le salar

Coucher de Lune sur Incahuasi

Le salar, un peu plus marron que d'habitude à cause de la tempête de sable

Des petits oiseaux qui viennent boire (l'eau est rare ici!)

La patriote

La petite voix

À votre avis, qui va gagner?

Le cimetière de trains